[Extrait « La société de bien commun »] « Gestion publique de l’eau: de l’intérêt général au bien commun » de Didier Christin de sol et civilisation

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Didier Christin est praticien-chercheur au sein de Sol et civilisation. Il travaille sur la réactualisation des pratiques de gestion en commun.

« C’est par le fait que des personnes autonomes (publiques et/ou privées) se reconnaissent, se constituent et s’organisent en tant que communauté titulaire d’un « patrimoine commun » – et donc le prennent en charge comme tel – qu’un élément, matériel ou immatériel, devient le patrimoine commun de cette communauté. »

Dans le chapitre « Cultiver » de l’ouvrage « La société de bien commun » de l’écologie Humaine, Didier Christin  présente comment le « commun » permet de mieux saisir ce que pourrait être une véritable gestion durable de l’eau et des milieux aquatiques et donc d’éclairer comment mieux la mettre en œuvre.

Afin de comprendre au mieux ce qui définit une telle gestion durable, il est important, dans un premier temps, de décrire les trois modes de prise en charge , différents et complémentaires, de la gestion de l’eau : la gestion individuelle, la gestion collective (ou par délégation) et la gestion en commun. Cette distinction permet alors d’envisager comment arriver à mobiliser les forts « potentiels d’implication » des acteurs dans la gestion de l’eau de leurs territoires.

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