[Collection les Cahiers de la recherche] Gérer la nature et l’environnement : l’État, le marché et la communauté

À partir de l’analyse de travaux d’auteurs tels que Michel Crozier, Elinor Ostrom et James S. Colman, Didier Christin, doctorant AgroParisTech – Université du Québec à Montréal, cherchera à souligner leurs apports aux sciences de l’environnement. Comment mieux gérer les réalités du vivant ? Cette gestion passe-t-elle par leurs privatisations ? Par leurs normalisations et plus globalement par leurs réglementations ? Peut-on trouver d’autres modes de prise en charge qui passent par d’autres façons de travailler ensemble ?

À la fin des années 1960, dans les pays où la croissance économique et industrielle a été la plus forte le devenir de la nature et de l’environnement commence à poser problème. Il apparaît qu’il convient pour les humains

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d’agir afin de remédier à la dégradation accrue de la nature et de l’environnement. « Comment agir ? » devient alors une question clé. Deux grands courants de pensée et d’action dominent : la privatisation de la nature (régulation par le marché) et la gestion étatique (régulation par la norme).

Les trois approches étudiées ici, l’analyse stratégique des organisations, le capital social et la théorie des ressources communes, ont toutes trois permis de montrer les limites de ces deux courants et de progresser dans la recherche de voies originales pour répondre aux crises environnementales. Appliquées à la gestion de la nature et de l’environnement, ces trois approches mettent l’accent sur l’importance des acteurs à s’organiser pour « agir ensemble ». Théoriquement et empiriquement, elles identifient et relèvent l’importance d’un niveau intermédiaire entre l’individu et la société – appelé « communauté », « club » ou encore « système d’action concret » – où se joue et s’organise cette « gestion ensemble ». Elles permettent d’en analyser la pertinence, l’efficacité, mais aussi les imperfections et les limites.

Plus généralement, ces trois approches permettent une relecture des causes de la dégradation de la nature et de l’environnement. Ces causes ne se réduiraient pas à la seule pression anthropique croissante, mais seraient aussi liées à la difficulté de maintenir et développer des « institutions » de gestion…

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