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Sol et Civilisation est partenaire de ce projet qui se concrétise après trois années de travail. Cet ouvrage « remet les pas dans les traces » pour rendre compte de manière précise et détaillée de cette dense et riche histoire agraire de l’Aubrac, analyser les mécanismes du développement agricole et rural de la région, et porter un regard sur les enjeux d’avenir qui l’attendent. Il est à la fois une histoire de l’Aubrac, de ses hommes, de sa race bovine, de ses filières d’élevage et de ses produits, de ses exploitations … .

 

« Entre 1964 et 1966, une des premières recherches pluridisciplinaires d’ampleur organisée en France par le CNRS – la RCP Aubrac – a mobilisé des dizaines de chercheurs pour étudier, décrire et comprendre un « établissement humain » de notre société occidentale contemporaine sous ses multiples aspects : ethnologie, agronomie, zootechnie, histoire, sociologie économique, dialectologie, etc.

L’objectif du présent ouvrage est de caractériser la profonde évolution qui a marqué ce territoire depuis cette époque. En effet, de la crise profonde des années 1950 à la relance réussie de la race aubrac et aux initiatives des années 1980 autour d’une offre valorisée de produits et services de qualité, jusqu’à l’émergence d’un véritable projet de territoire par la création d’un parc naturel régional dédié, l’Aubrac a connu un véritable développement de son élevage et de son territoire. Pays de « résistants », l’Aubrac s’est révélé aussi une région apprenante, réactive et innovante, dont les initiatives originales et les réussites nombreuses sont le fruit de dynamiques collectives, catalysées par des leaders visionnaires, et qui ont su cultiver leur patrimoine et la modernité. Pour autant, les réussites de l’Aubrac et son rayonnement aujourd’hui ne doivent pas éluder une lecture critique de son histoire et de la situation actuelle, pour mieux répondre aux défis de demain. Fruit de près de trois années de travail, cet ouvrage « remet les pas dans les traces » pour rendre compte de manière précise et détaillée de cette dense et riche histoire agraire de l’Aubrac, analyser les mécanismes du développement agricole et rural de la région, et porter un regard sur les enjeux d’avenir qui l’attendent. »

« L’ Aubrac : 50 ans de développement », de Jean-Baptiste Borrès, Claude Béranger, Joseph Bonnemaire, Sophie Devienne, Philippe Lacombe, Jean-Louis Rouquette – Paru aux Editions de l’Aube, octobre 2019.

 

 

 

L’agriculture apparaît aujourd’hui au cœur de la plupart de nos débats de société : sécurité alimentaire, qualité de l’alimentation, gestion de l’environnement, mutations énergétiques, préservation des ressources naturelles dans nos territoires, rôle de la science et du progrès technique dans l’innovation, compétitivité de nos économies dans la mondialisation, solidarité entre les peuples…

Pourtant, alors qu’elle n’a peut-être jamais été autant considérée comme stratégique, l’agriculture est de plus en plus accusée, sujet de divisions multiples ou mal comprise. Est-ce vraiment durable ?

« Pas de pays, sans paysans », nous interpellait Raymond Lacombe. Le 4e Cahier de Sol et Civilisation s’inscrit dans le sillage de la pensée du président fondateur de Sol et Civilisation. Il vise à comprendre cet apparent paradoxe et à éclairer l’actualité de cette conviction en France, et probablement dans d’autres régions du monde.
Pour ce faire, nous avons fait appel à différents regards et personnalités. Sans pour autant rechercher une lecture exhaustive de ce sujet, ô combien foisonnant, et encore moins des réponses définitives, les auteurs nous livrent ici leur part de vérité et contribuent chacun à mieux cerner le rôle que jouent ou que pourraient jouer les agriculteurs au sein d’un projet de société en ce début de XXIème siècle.

Retrouvez aussi des extraits d’une série de rencontre entre deux jeunes agriculteurs qui ont permis d’élaborer par la suite leur contribution commune pour le Cahier 4 avec l’article « Paysan entrepreneur, une posture pour les jeunes agriculteurs aujourd’hui ». Pour voir les extraits de leurs échanges et débats, cliquez sur ce lien.

Pour plus d’informations et commander l’ouvrage, contactez nous :

contact@soletcivilisation.fr
tél.: 01 44 31 16 61

Prix : 15 euros (+ frais de port)

ou accédez à la version téléchargeable de l’ouvrage en pdf.

En juillet 2006, René Caspar rappelait dans la Lettre de Sol et Civilisation les fondements du groupe de Toulouse.

« C’est autour de Raymond Lacombe, président fondateur de Sol et Civilisation, que s’est constitué ce qu’on appelle le « groupe de Toulouse » parce que ce groupe a été accueilli à Toulouse par l’Ecole Supérieure d’Agriculture de Purpan et par son directeur de l’époque, Pierre Tapie.

Se réunissant à Toulouse à partir de 2001, le groupe de réflexion s’est donc composé pour l’essentiel de personnes travaillant en Midi-Pyrénées et se reconnaissant dans la double mouvance du développement territorial rural et de la pensée de Raymond Lacombe, leader agricole charismatique, trop vite disparu en février 2002. C’est au demeurant celui-ci, qui a assuré avec énergie et dynamisme la véritable animation du groupe, autour d’un sujet qui lui était cher : « entreprendre en milieu rural ».

Pour mettre en œuvre cette réflexion, le groupe dit « de Toulouse » s’est ouvert à d’autres membres et a reconduit sa méthode : auditions d’experts et témoignages, travaux collectifs, publications. »

 

Ces dernières années, le groupe de Toulouse a fait bénéficier le Réseau Rural Français, au niveau régional et national, de ses réflexions sur l’entrepreneuriat en milieu rural. Il a ainsi conduit un projet au long cours autour des questions de gestion territoriale des emplois et des compétences

« La relation entre le développement agricole et le territoire vue dans des contextes étrangers, une façon d’interroger les territoires comme des voies d’innovation pour faire face aux crises d’aujourd’hui et en relever les défis…


« Les Assises de Sol et Civilisation sont maintenant proches et auront lieu le 7 octobre 2010 à la Fédération Nationale du Crédit Agricole à Paris. Nous y reviendrons sur la question des territoires comme espace stratégique pour aujourd’hui et demain. Force est de constater que nous vivons dans un monde en crise qui peine à trouver des solutions pérennes, et ce malgré les immenses efforts déployés et les moyens consentis. Chacun est conscient qu’il faut ainsi davantage inventer, innover, tester de nouvelles pistes et repenser la question de notre développement.

C’est, en quelque sorte, ce que nous nous proposons de faire en nous interrogeant précisément sur l’intérêt d’une voie territoriale réaliste et point d’équilibre entre le tout local, protecteur mais sclérosant, et le tout mondial, asphyxiant. Cette voie territoriale n’est pas nouvelle, nous en avons souvent fait écho dans nos colonnes. L’occasion nous sera donnée d’en saisir de nouveau toute l’acuité. Je vous invite à participer à ce débat avec de nombreuses personnalités qui viendront nous livrer leurs analyses et leurs témoignages. Nous avons également le plaisir d’accueillir comme grand témoin Jean-Marie Sander, Président du Crédit Agricole.

Avant d’ouvrir le débat, je vous propose de compléter le thème développé dans notre précédent numéro, « Vers une société gestionnaire du vivant », en nous interrogeant sur la relation entre développement agricole et territoire, et ce en ouvrant sur des contextes étrangers, et de revenir par ailleurs sur un débat que nous avons organisé avec l’Association de Mise en Valeur de l’Espace Rural (AIMVER) à propos de la ruralité, où sont intervenus Bertrand Hervieu (sociologue), Bernard Marchand (urbaniste) et Jean-Claude Bontron (agronome).

Je vous souhaite une bonne lecture et vous donne donc rendez-vous le 7 octobre aux 19èmes Assises de Sol et Civilisation. »

Michel Ledru, président de Sol et Civilisation

Télécharger la Lettre 46

« Entre le moment où se préparaient les 17es Assises de Sol et Civilisation consacrées aux problématiques du développement agricole et aujourd’hui, deux crises majeures ont secoué le monde. La première en 2007 était essentiellement alimentaire consécutivement à l’envolée des prix des matières premières et avait des conséquences sociales parfois dramatiques, « les émeutes de la faim », essentiellement dans les pays en développement. La deuxième est plus récente et plus brutale encore. Elle fut d’abord financière et se prolonge aujourd’hui par une crise économique d’une portée mondiale et d’une intensité insoupçonnée. Ce deuxième train de crises touche cette fois-ci tous les pays, tous les territoires, tous les secteurs. Une année seulement sépare ces deux évènements. Et pourtant, en douze mois, les prix agricoles ont été très hauts, ils sont aujourd’hui bien bas, certaines filières agricoles avaient des perspectives intéressantes, aujourd’hui l’inquiétude domine.

Nous posions alors en octobre la question de savoir si nous étions face à des évolutions ou des révolutions agricoles. Au-delà de la controverse sémantique, nous avions convenu que nous vivons de réelles mutations systémiques qui affecteraient durablement nos façons de produire, de commercer, de consommer. Nous avions alors particulièrement insisté sur la nécessité de réguler davantage les marchés agricoles et avions souligné l’importance stratégique de n’oublier aucun territoire pour assurer un développement global équilibré. Si quelques mois ont passé, ces positions nous apparaissent plus que jamais d’actualité tant il apparaît aujourd’hui dangereux de laisser les marchés seuls régler les affaires du monde.

Ainsi je vous propose de prolonger nos dernières assises avec quatre articles complémentaires sur les enjeux et les conditions du développement des économies agricoles. Bernard Bachelier de la Fondation FARM reviendra sur son intervention pour souligner l’importance d’investir dans l’amont des filières. Michel Mollard, à la lumière de son expérience de directeur de l’agri-agence Fert, s’interrogera sur la place de l’agriculteur dans l’aide au développement et Jean-Christophe Debar, agro-économiste, abordera ensuite la question de la régulation des marchés au niveau international. Enfin, François-Vadim de Hartingh, fort de sa pratique des institutions internationales, proposera une analyse critique des mécanismes de la coopération agricole.

Je tiens à remercier de nouveau l’ensemble des participants aux Assises 2008 et profite de l’occasion pour vous signaler que les Actes de cette journée sont désormais disponibles. Enfin, je tenais d’ores et déjà à vous annoncer que nos prochaines Assises se tiendront cette année le 15 octobre à Paris. Cette 18e édition nous permettra cette fois-ci de nous interroger sur la nature profonde de ces multiples crises et de réfléchir à la place et au rôle de la ruralité dans ce monde qu’il faut réinventer. »

Michel Ledru, président de Sol et Civilisation

Télécharger la Lettre 40

Face à la mondialisation économique et aux enjeux du développement durable, le territoire est redevenu à la mode et apparaît de plus en plus comme un cadre reconnu pour penser et agir. Néanmoins, la notion de développement territorial, qui lui est alors associée, demeure aujourd’hui ambiguë et se confond encore trop souvent avec celle du développement local. Lire la suite

 » La ruralité et l’agriculture ne font plus face aux mêmes défis qu’il y a quinze ans. Nouvelle attractivité, conjoncture économique récemment plus favorable, l’espace agricole et rural se porte visiblement mieux. Les difficultés, si elles changent de nature, ne sont pas moins bien présentes. La libéralisation des marchés agricoles et l’urbanisation croissante bouleversent aujourd’hui la vie et les équilibres à long terme des campagnes.

Les sujets de réflexion de l’association Sol et Civilisation ne sont donc pas clos et je les résumerais aujourd’hui par deux interrogations :
Comment, dans un monde de plus en plus ouvert, de plus en plus complexe, de plus en plus urbain, peut-on construire un développement rural équilibré, basé sur une économie locale solide, une identité préservée, des relations

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sociales sereines, un environnement préservé ?

Comment créer dans nos territoires les conditions d’un « meilleur vivre ensemble » alors que la compétition économique devenue mondiale assèche nos relations, les conflits d’usage enveniment nos rapports, les biens qui nous sont communs sont négligés ?
Dans ce cadre, la place et le rôle de l’agriculture restent pour nous une préoccupation centrale. C’est en effet une activité aux multiples qualités – patrimoniale et culturelle, économique, sociale, environnementale -, qui donne à l’évidence le pouls de la ruralité française et européenne. La période que nous vivons et que nous venons brièvement de décrire avec ces deux moteurs que sont la mondialisation et l’urbanisation, l’affecte en premier chef et nous ne pouvons penser une ruralité vivante sans penser à l’avenir de l’activité agricole.
Or, cette dernière vit justement une phase de mutations et d’ajustements sans précédent. Certes, c’est le propre de toute activité de s’adapter et d’évoluer, mais il me semble aujourd’hui qu’elle doit faire face à des changements extrêmement rapides et qu’elle doit trouver, dans un laps de temps court, des solutions à des problématiques de plus en plus complexes. Doit-on se résoudre au développement d’une agriculture duale : une agriculture de production standard d’une part, sans lien étroit avec son territoire mais forte sur les marchés mondiaux, et une agriculture de niche d’autre part, territorialisée mais relativement confidentielle ?
Sol et Civilisation a donc abordé plus précisément cette question et a voulu s’interroger sur les éléments possibles d’une autre stratégie agricole où pourraient se conjuguer qualité, quantité, territoire et filière.

Nous avons eu l’opportunité de nous appuyer pour cela sur un groupe d’étudiants de l’Institut National Agronomique Paris-Grignon, qui dans leur cursus doivent suivre un enseignement pratique visant à les mettre en situation d’ingénieur. Nous leur avons alors proposé de mener une réflexion sur le bassin laitier haut-normand.
La restitution de ces travaux a fait l’objet d’un colloque en décembre 2007 à la Cité d’agriculture de Seine-Maritime et fut complétée par le regard de plusieurs acteurs-clé. Je vous invite à lire dans les pages qui suivent une synthèse de cette rencontre ainsi qu’un article complémentaire sur le travail de prospective « Agriculture 2013 » conduite par l’Inra en 2007.
L’année 2008 sera stratégique pour notre agriculture. La présidence française à l’Union européenne et le bilan de la PAC à mi-parcours seront en effet des temps forts qu’il ne faudra pas manquer. Sol et Civilisation espère ainsi avec cette première Lettre de l’année contribuer à une nécessaire réflexion collective pour envisager un projet agricole français et européen d’avenir. »

Michel Ledru, Président de Sol et Civilisation

Télécharger la Lettre 36

 

Pourquoi attacher encore de l’importance aux territoires quand les vagues de la mondialisation balaient frontières et repères, et que la mobilité des hommes est devenue un fait de plus en plus partagé ? Lire la suite

« Au cours des récentes années, Sol et Civilisation a eu l’opportunité de montrer à travers les Assises 2004 et de confirmer sur le terrain, que ce soit en Biélorussie sur les territoires contaminés, en Albanie à Voskopojë, ou en Tunisie, combien la problématique de gestion des territoires se posait bien ailleurs qu’en France et que pour la plupart des territoires ruraux, le développement d’une économie agricole performante en constituait un élément clef.

 

Ces expériences ont également permis de mesurer l’intérêt que peuvent représenter pour de nombreux territoires de pays en développement ou émergents, les approches proposées par Sol et Civilisation en terme de gouvernance et celles mises en œuvre de longue date par

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Fert pour le développement agricole.

Ces dernières sont notamment fondées sur l’expérience de l’agriculture française, dont une des caractéristiques les plus marquantes réside dans l’engagement des agriculteurs prenant en charge les organisations nécessaires à l’exercice efficace de leur métier. De telles actions de coopération internationale ne peuvent être conduites qu’avec la contribution effective des professionnels agricoles qui apportent leur savoir faire dans ce domaine, ce qu’ils font depuis de nombreuses années notamment aux côtés de Fert.
La persistance et l’acuité croissante des besoins de développement économique d’une proportion importante de la population mondiale, et la relation de plus en plus évidente de ce développement avec de nouvelles formes adaptées de gestion des territoires, rendent très pertinente la convergence des actions développées par Sol et Civilisation et Fert. L’intérêt de leur poursuite, voire de leur extension sont une évidence.
Or ces actions sont très liées à l’engagement des professionnels agricoles français dont le savoir faire en est un élément clef, mais pour qui ce type d’action peut ne pas entrer nécessairement dans les objectifs prioritaires.
Sol et Civilisation, soucieuse de découvrir et tester des méthodologies pouvant enrichir ses modes d’actions, a mis en œuvre avec Fert un exercice de prospective visant à évaluer ce que pourrait être à l’échéance de 10 ans l’engagement des organisations professionnelles françaises dans la coopération agricole internationale.
Il nous est apparu intéressant d’en livrer dans cette lettre les principaux enseignements et de laisser quelques partenaires de cette étude nous donner leurs commentaires. Nous évoquerons enfin deux rapports récents d’organisations internationales qui traitent de l’agriculture dans le développement. »

Michel Ledru, Président de Sol et Civilisation

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Cette Lettre est dédiée à une synthèse d’une cycle de conférences portant sur les approches et des modes d’action en univers complexe. Ce thème de réflexion initié par la nécessité de nouvelles méthodes de prise en charge de la complexité des situations auxquelles notre société est confrontée, se trouve brutalement rattrapé l’actualité dramatique que constitue la grève de la faim entreprise par Jean Lassalle depuis le 7 mars 2006.

Jean Lassalle est membre du Comité d’Orientation de Sol et Civilisation; Investi de plusieurs mandats électifs locaux, nationaux et internationaux, il est confronté à la complexité du vivant à tous les niveaux, à partir du territoire qu’il représente.

Pour une meilleure compréhension des enjeux liés à la gestion du vivant, nous avons souhaité poursuivre en inscrivant notre réflexion dans un cadre plus large : comment peut-on finalement aujourd’hui comprendre et agir dans des univers de plus en plus complexes ?
Quatre intervenants nous apportent un éclairage de première qualité : Dominique Genelot, consultant en entreprise, Meyer Ifrah, consultant, Henry Ollagnon, professeur à l’AgroParisTech et enfin Bruno Latour, sociologue.

 

Télécharger la Lettre 30