Cet article fait le point sur les initiatives et les projets portés par les acteurs du territoire du Mené qu’ont présenté Dominique ROCABOY et Jacky AIGNEL lors des Assises 2007 de Sol et Civilisation. Il dégage les différentes innovations dont les acteurs ont fait preuve pour mener à bien ces projets. Ces innovations sont au coeur du projet de territoire et sont révélatrices d’un territoire vivant et ouvert.

Dans cet article, l’auteur s’inquiète du manque de subsidiarité dans le développement de notre société alors qu’à ses yeux, ce principe est essentiel pour un développement local réussi, incontournable pour poursuivre la construction européenne, et indispensable pour faire émerger un développement mondial cohérent et équilibre…

Dans cet article, l’auteur développe les trois dimensions essentielles pour une relance du développement des territoires ruraux : favoriser les relations des hommes entre eux, la vie économique des territoires mais aussi la vie locale et l’organisation des territoires. Il s’agit in fine de trouver les conditions d’application d’une réelle subsidiarité.

Dans cette synthèse de colloque, l’auteur propose de considérer le territoire comme un point de rencontre entre agriculture et société. Parce qu’il est un socle de relations, un espace de ressources et un lieu stratégique pour envisager le développement économique. Ceci d’autant plus que les termes d’un nouveau pacte entre agriculture et société se font jour.

Cet article reprend l’intervention de Pierre GRANDADAM lors d’une rencontre sur les problèmes complexes liés au vivant. L’auteur raconte comment, dans un partenariat étroit avec les acteurs du territoire (agriculteurs, propriétaires et habitants), les élus locaux ont initié la remise en valeur des fonds de vallées de la Haute-Bruche. Etape par étape, des outils comme l’association foncière pastorale ont été mobilisé et ont permis d’atteindre des résultats déjà satisfaisants, en particulier pour la qualité du paysage.

Dans cet article, l’auteur propose d’aborder les enjeux du développement des territoires et des équilibres de société avec un regard nouveau : celui d’une gestion du vivant réactualisée. C’est pourquoi l’enjeu n’est pas seulement agricole. Pour l’auteur, il s’agit de reconsidérer le contrat entre la société et son agriculture, et plus largement ses territoires ruraux et l’ensemble des acteurs concernés, vis-à-vis de cette gestion du vivant.

Dans cet article, l’auteur souligne l’intérêt, l’originalité et la modernité de l’outil SICA pour accompagner l’aménagement et l’organisation des territoires ruraux. Contrairement aux outils classiques du développement agricole, la SICA est une structure ouverte à l’ensemble des acteurs ruraux d’où probablement de nouvelles opportunités à rechercher aujourd’hui dans l’appui aux dynamiques de « pays ».

Dans cet article, l’auteur témoigne des racines de son engagement dans les vallées du Haut-Béarn qui d’une situation de crise face au « problème de l’ours » l’ont conduit à porter une démarche patrimoniale pour ré-impliquer progressivement l’ensemble des acteurs qui revendiquent une responsabilité sur ce territoire où vivent les ours… un processus qui pour l’auteur part du principe que chacun dans son domaine ou sa compétence a quelque chose à faire pour le bien commun.

La goutte d’eau, l’ours et le milieu rural

Dans cet article, l’auteur précise les principes et objectifs de l’action de Sol et Civilisation, tournée vers un rééquilibrage de la société qui se fonde sur un comportement nouveau des acteurs. L’objectif est bien de promouvoir un Homme actif et responsable et pour cela d’explorer de nouvelles méthodes et de nouveaux outils pour que l’Homme puisse être pleinement acteur de son propre développement. Deux exigences liées ensemble : la recherche-action!