Dans cet éditorial, l’auteur expose les fondements qui le conduisent à proposer de faire de l’association Sol et Civilisation un espace d’interrogation, de réflexion et de débat sur les équilibres d’une société française en crise. En crise au sein du monde rural. En crise au sein du monde urbain. En crise dans la rupture du dialogue et de la connaissance entre les milieux urbains et ruraux…

Dans ce discours de clôture du Dimanche des Terres de France, l’auteur expose les fondements de la vision qu’il souhaite porter à travers la promotion du développement des territoires ruraux, en particulier en créant par la suite l’association Sol et Civilisation.

Dans cet éditorial, l’auteur rappelle son souhait de voir les acteurs ruraux pleinement acteurs du développement rural et des complémentarités entre villes et campagnes. Une vision peu compatible avec l’approche urbaine de l’aménagement du territoire, qui guide l’évolution des politiques publiques.

Dans cet article, l’auteur présente l’expérience de la filière Comté et explique comment l’organisation des acteurs locaux favorise tout à la fois la sécurité économique de la filière, une démarche qualité vis à vis des productions, mais aussi une prise en compte plus fine de l’environnement et des demandes du consommateur.

Dans cet article, l’auteur rappelle les traits essentiels de la mutation de la société suscitée par la mondialisation et le progrès technique, afin d’éclairer trois options de société pour le futur. Il souligne ensuite quelques problèmes principaux à dépasser pour que libéralisme et vie des territoires se renforcent : relier le marché et les institutions, favoriser la construction européenne, revisiter le développement durable. D’où la possibilité d’appréhender le territoire avec un regard nouveau, c’est à dire comme un lieu de réconciliation, d’enracinement, de relation, d’équilibre et donc de vie.