La communauté de communes gère ce que les communes ne pourraient pas prendre en charge seules, au mieux de l’intérêt des habitants. Les communes conservent les autres compétences, leur autonomie. Elles participent toutes, du fait du mode de représentation choisi, à la vie de la communauté de communes.

Dans cet article, l’auteur revient sur l’organisation de son territoire en intercommunalité. Avant d’être une question d’organisation, il s’agit avant tout de faire émerger un projet de territoire qui permette d’agir ensemble et de répondre à de nouveaux enjeux (tourisme, gestion des déchets) pour maintenir in fine le développement économique et la vitalité des communes tout en préservant une forte capacité de décision et d’action des élus locaux.

Dans cet article, l’auteur rappelle les traits essentiels de la mutation de la société suscitée par la mondialisation et le progrès technique, afin d’éclairer trois options de société pour le futur. Il souligne ensuite quelques problèmes principaux à dépasser pour que libéralisme et vie des territoires se renforcent : relier le marché et les institutions, favoriser la construction européenne, revisiter le développement durable. D’où la possibilité d’appréhender le territoire avec un regard nouveau, c’est à dire comme un lieu de réconciliation, d’enracinement, de relation, d’équilibre et donc de vie.

Dans cet article, l’auteur présente les premiers résultats d’une démarche initiée dans la vallée de l’Ardèche afin de mobiliser les acteurs autour des enjeux de la gestion de l’eau.

Dans cet article, l’auteur détaille l’organisation et le fonctionnement des espaces ruraux polonais, et explore les principaux enjeux en termes de développement agricole et d’organisation territoriale. Penser le devenir de ces territoires ruraux et maintenir des territoires vivants, c’est avant tout se donner les moyens d’une politique européenne de la ruralité, et non seulement de l’agriculture…

Dans cet article, l’auteur analyse le glissement progressif des gestionnaires des espaces protégés d’une conception de la préservation de la nature à une vision nouvelle, « la co-gestion de la biodiversité », pour en détailler ensuite les conséquences pour les milieux et les relations entre les hommes. Ce changement sémantique suffira-t-il néanmoins à rétablir la confiance entre « gens du lieu » et « protecteurs » ?

2010 fut l’année mondiale de la biodiversité.

Sa protection est aujourd’hui reconnue comme un enjeu majeur pour l’ensemble de l’Humanité et un révélateur de la capacité de notre civilisation à répondre en plus des nôtres, aux besoins d’autres espèces. L’immense défi que nous devons tous relever consiste à proposer ensemble un projet de développement équilibré.

Dans cette interview, Francis AUBERT souligne les différents regards portés sur la ruralité à travers l’Europe. Il propose quelques grilles de lecture pour mieux comprendre les avantages économiques qui distinguent les espaces urbains des territoires ruraux.

Dans ce discours, l’auteur rappelle les fondements de la création de Sol et Civilisation dont le cœur des préoccupations est de questionner la relation de l’homme à son espace, comme une des clefs d’un développement durable qui permet de rétablir des équilibres.