Dans cet article, l’auteur présente les trois étapes principales de l’évolution de la gestion de la qualité dans les entreprises depuis la seconde guerre mondiale. Il insiste sur les nouvelles approches et notions pour développer la qualité dans les entreprises aujourd’hui et voit une grande relation entre ce défi pour le milieu humain qu’est l’entreprise et les enjeux auxquels un territoire est confronté.

Dans cet article, l’auteur développe les trois dimensions essentielles pour une relance du développement des territoires ruraux : favoriser les relations des hommes entre eux, la vie économique des territoires mais aussi la vie locale et l’organisation des territoires. Il s’agit in fine de trouver les conditions d’application d’une réelle subsidiarité.

Dans cette synthèse de colloque, l’auteur propose de considérer le territoire comme un point de rencontre entre agriculture et société. Parce qu’il est un socle de relations, un espace de ressources et un lieu stratégique pour envisager le développement économique. Ceci d’autant plus que les termes d’un nouveau pacte entre agriculture et société se font jour.

Dans cet article, l’auteur propose une grille de lecture pour guider l’évolution de la place des territoires ruraux dans les équilibres de société. Pour répondre pleinement à leurs trois fonctions économique, naturel et résidentielle, il s’agit d’accompagner l’évolution des relations ville-campagne mais aussi l’organisation des territoires ruraux eux-mêmes, en particulier au niveau de la commune et des pays.

L’association foncière pastorale (AFP) réunit les propriétaires fonciers afin de gérer collectivement un périmètre à l’abandon ou en voie d’abandon. Cinq principaux objectifs sont visés :

Cet article reprend l’intervention de Pierre GRANDADAM lors d’une rencontre sur les problèmes complexes liés au vivant. L’auteur raconte comment, dans un partenariat étroit avec les acteurs du territoire (agriculteurs, propriétaires et habitants), les élus locaux ont initié la remise en valeur des fonds de vallées de la Haute-Bruche. Etape par étape, des outils comme l’association foncière pastorale ont été mobilisé et ont permis d’atteindre des résultats déjà satisfaisants, en particulier pour la qualité du paysage.

Dans cet article, l’auteur propose d’aborder les enjeux du développement des territoires et des équilibres de société avec un regard nouveau : celui d’une gestion du vivant réactualisée. C’est pourquoi l’enjeu n’est pas seulement agricole. Pour l’auteur, il s’agit de reconsidérer le contrat entre la société et son agriculture, et plus largement ses territoires ruraux et l’ensemble des acteurs concernés, vis-à-vis de cette gestion du vivant.

Dans cet article, l’auteur propose d’envisager les enjeux de gestion de l’eau comme une opportunité pour positiver la fonction des agriculteurs et plus largement des gestionnaires des territoires ruraux. C’est pourquoi il faut selon lui considérer l’eau comme un « produit du sol » et non pas seulement comme un « don du ciel ».

Dans cet article, l’auteur souligne l’intérêt, l’originalité et la modernité de l’outil SICA pour accompagner l’aménagement et l’organisation des territoires ruraux. Contrairement aux outils classiques du développement agricole, la SICA est une structure ouverte à l’ensemble des acteurs ruraux d’où probablement de nouvelles opportunités à rechercher aujourd’hui dans l’appui aux dynamiques de « pays ».

Dans cet article, l’auteur témoigne des racines de son engagement dans les vallées du Haut-Béarn qui d’une situation de crise face au « problème de l’ours » l’ont conduit à porter une démarche patrimoniale pour ré-impliquer progressivement l’ensemble des acteurs qui revendiquent une responsabilité sur ce territoire où vivent les ours… un processus qui pour l’auteur part du principe que chacun dans son domaine ou sa compétence a quelque chose à faire pour le bien commun.