Dans cet article, l’auteur rappelle les liens historiques entre certification forestière et gestion durable des forêts, détaille l’émergence de cette notion en France et en Europe et son appropriation par les forestiers privés et acteurs de la filière bois à travers le système PEFC, qui se distingue de l’approche PFC.

Dans cet article, l’auteur rappelle les liens historiques entre certification forestière et gestion durable des forêts, détaille l’émergence de cette notion en France et en Europe et son appropriation par les forestiers privés et acteurs de la filière bois à travers le système PEFC, qui se distingue de l’approche PFC.

Dans son éditorial, l’auteur s’inquiète de la montée des crises du vivant qui annoncent un défi majeur pour nos sociétés : élaborer des stratégies communes pour prendre charge la qualité du vivant par et avec l’ensemble des acteurs concernés, agriculteurs bien sûr, mais aussi acteurs de filière, consommateurs etc.

Dans cet éditorial, l’auteur rappelle son souhait de voir les acteurs ruraux pleinement acteurs du développement rural et des complémentarités entre villes et campagnes. Une vision peu compatible avec l’approche urbaine de l’aménagement du territoire, qui guide l’évolution des politiques publiques.

Dans cet article, l’auteur s’inscrit en faux vis-à-vis de la vision courante des agricultures des PECO, souvent perçues comme un avantage comparatif pour l’intégration de ces pays dans l’Union Européenne. En s’appuyant sur l’analyse de la compétitivité agricole, de la productivité, de la structuration des exploitations et en décryptant le retour à la terre comme un refuge anti-chômage, l’auteur propose de considérer le développement économique et agricole de ces pays non seulement comme un projet de développement rural classique mais comme une politique d’organisation et d’aménagement du territoire au sens large, c’est-à-dire des campagnes et des villes et des liens qu’elles peuvent entretenir.

Dans cet article, l’auteur soutient que la grande subsidiarité peut être un espace où s’exerce la subsidiarité. Il développe cette analyse en présentant le groupement des Mousquetaires : sa structuration, sa philosophie et ses modalités de fonctionnement, en tant que tissu de petites entreprises mais aussi en tant qu’ensemble d’individus qui s’engagent à prendre une partie de l’entreprise commune, chacun à leur niveau. Dans un second temps, l’auteur illustre l’action spécifique conduite en milieu rural, à travers des exemples concrets.

Dans cet article, l’auteur analyse les données démographiques de l’élargissement de l’Union Européenne de 15 à 25 pays membres. En détaillant les différences entre les pays entrants et les 15 – conditions de vie, accroissement naturel, fécondité, flux migratoire -, il éclaire les enjeux d’un rassemblement certes historique, mais pas sans risque pour l’équilibre des territoires concernés et de leurs populations.

Après un bref retour sur l’apparition de la notion de développement durable, symptôme de l’émergence de la complexité du vivant, l’auteur propose quatre leviers pour considérer la gestion du vivant en bonne santé : une exigence de qualité totale, des modalités de prise en charge revisitées, le besoin de piloter la qualité, la nécessité de sécuriser les acteurs dans la prise d’initiative. En conclusion, le développement durable est un choix politique de société.

En rappelant les spécificités régionales du lien ville-campagne, l’auteur partage différentes expériences conduites en Ile-de-France qui témoignent des enjeux, des perspectives et des pistes d’amélioration des liens entre développement urbain et développement rural.