Dans cet article, l’auteur propose d’appréhender la prise en charge des biens communs, tels que la gestion du vivant, avec de nouvelles approches qui visent à organiser la négociation autour des attentes multiples des acteurs concernés.
Ronald HEIFETZ, professeur à l’Ecole d’administration J.F.Kennedy (Université de Harvard), distingue deux types fondamentaux de problèmes rencontrés par les sociétés : les problèmes techniques et les problèmes d’adaptation.
Dans son discours, l’intervenant tire les enseignements de son intervention auprès de la République du Kirghizitan, menée la fin des années 90 pour élaborer un programme de développement. Quelques points clefs à retenir: la nécessité de 1) considérer les pays non pas comme des marchés émergents mais comme des sociétés émergentes; 2) faire naitre la subsidiarité avant de définir le projet; 3) appréhender le développement comme un problème complexe d’adaptation et non pas comme un problème technique.
Dans cet article, l’auteur s’inquiète du manque de subsidiarité dans le développement de notre société alors qu’à ses yeux, ce principe est essentiel pour un développement local réussi, incontournable pour poursuivre la construction européenne, et indispensable pour faire émerger un développement mondial cohérent et équilibre…
Présentation de la vocation des Missions locales
Dans cet article, l’auteur partage sa préoccupation vis-à-vis du phénomène de désertion des territoires ruraux par les jeunes. Si l’un des enjeux est de mieux accompagner leur insertion professionnelle, la situation nécessite aussi de mieux comprendre pourquoi les jeunes désertent.
Dans cet article, l’auteur présente les trois étapes principales de l’évolution de la gestion de la qualité dans les entreprises depuis la seconde guerre mondiale. Il insiste sur les nouvelles approches et notions pour développer la qualité dans les entreprises aujourd’hui et voit une grande relation entre ce défi pour le milieu humain qu’est l’entreprise et les enjeux auxquels un territoire est confronté.
Dans cet article, l’auteur développe les trois dimensions essentielles pour une relance du développement des territoires ruraux : favoriser les relations des hommes entre eux, la vie économique des territoires mais aussi la vie locale et l’organisation des territoires. Il s’agit in fine de trouver les conditions d’application d’une réelle subsidiarité.
Dans cette synthèse de colloque, l’auteur propose de considérer le territoire comme un point de rencontre entre agriculture et société. Parce qu’il est un socle de relations, un espace de ressources et un lieu stratégique pour envisager le développement économique. Ceci d’autant plus que les termes d’un nouveau pacte entre agriculture et société se font jour.
Dans cet article, l’auteur propose une grille de lecture pour guider l’évolution de la place des territoires ruraux dans les équilibres de société. Pour répondre pleinement à leurs trois fonctions économique, naturel et résidentielle, il s’agit d’accompagner l’évolution des relations ville-campagne mais aussi l’organisation des territoires ruraux eux-mêmes, en particulier au niveau de la commune et des pays.