Dans cet extrait du discours de clôture des 20èmes Assises de Sol et Civilisation, l’auteur souligne les trois piliers indissociables pour réfléchir le devenir des territoires européens : l’agriculture, le rural, la relation de l’homme au territoire.

Dans cet extrait du discours d’ouverture des 20èmes Assises de Sol et Civilisation, l’auteur propose un diagnostic des lignes de tension qui marquent la société française : l’érudit versus le citoyen, les responsabilités individuelles et collectives, l’homme consommateur et l’homme acteur… Il invite à trouver de nouvelles relations en phase avec la recherche de sens de bien vivre qui caractérise une société de plus en plus immatérielle.

L’article fait le point sur quelques enseignements du projet de thèse de Didier CHRISTIN. A la lumière de ses travaux, l’auteur défriche quelques points structurants du paradigme de la gestion de l’eau et nous invite à repenser les binômes « Etat-marché », « liberté-contrainte » si l’on souhaite effectivement améliorer la qualité globale de l’eau.

Cet article fait le point sur les initiatives et les projets portés par les acteurs du territoire du Mené qu’ont présenté Dominique ROCABOY et Jacky AIGNEL lors des Assises 2007 de Sol et Civilisation. Il dégage les différentes innovations dont les acteurs ont fait preuve pour mener à bien ces projets. Ces innovations sont au coeur du projet de territoire et sont révélatrices d’un territoire vivant et ouvert.

Dans cet article, l’auteur propose un examen synthétique de la place du monde agricole et rurale dans la société française. Il pointe aussi un paradoxe du regard sur l’agriculture contemporaine : « alors que le secteur d’activité le plus ancien devait être réduit à l’essentiel et se faire oublier, il devient au contraire le symbole de l’altérité à retrouver ».

Dans son article, l’auteur tente de reposer les règles de la finance pour en retrouver le sens notamment dans un objectif de développement des territoires.« Finance » et « éthique », rarement deux termes ont été aussi dissonants. Si la finance est utile, il convient donc d’en fixer les règles et le cadre pour qu’elle soit au service du bien commun.

Dans cet éditorial, l’auteur revient sur le lien entre finance et territoire, sujet de préoccupation majeure ces dernières années.Depuis la crise des subprimes en 2007 et la faillite de Lehman Brothers en 2008, les crises s’enchaînent par rebonds successifs, toujours plus importantes, toujours plus violentes, des marchés aux banques, des banques aux Etats, des Etats aux sociétés.

Or, la finance est nécessaire à l’économie pour, notamment, fournir de la trésorerie couvrir les risques, financer le capital de départ. Alors peut il y avoir d’autres chemins possibles ? Sommes nous définitivement montés dans un train lancé à grande vitesse, désormais sans réel conducteur, et qui nous dirige vers un précipice ?

Dans cet article, l’auteur propose d’appréhender la prise en charge des biens communs, tels que la gestion du vivant, avec de nouvelles approches qui visent à organiser la négociation autour des attentes multiples des acteurs concernés.