Dans son article, l’auteur tente de reposer les règles de la finance pour en retrouver le sens notamment dans un objectif de développement des territoires.« Finance » et « éthique », rarement deux termes ont été aussi dissonants. Si la finance est utile, il convient donc d’en fixer les règles et le cadre pour qu’elle soit au service du bien commun.

Dans cet éditorial, l’auteur revient sur le lien entre finance et territoire, sujet de préoccupation majeure ces dernières années.Depuis la crise des subprimes en 2007 et la faillite de Lehman Brothers en 2008, les crises s’enchaînent par rebonds successifs, toujours plus importantes, toujours plus violentes, des marchés aux banques, des banques aux Etats, des Etats aux sociétés.

Or, la finance est nécessaire à l’économie pour, notamment, fournir de la trésorerie couvrir les risques, financer le capital de départ. Alors peut il y avoir d’autres chemins possibles ? Sommes nous définitivement montés dans un train lancé à grande vitesse, désormais sans réel conducteur, et qui nous dirige vers un précipice ?

Dans cet article, l’auteur propose d’appréhender la prise en charge des biens communs, tels que la gestion du vivant, avec de nouvelles approches qui visent à organiser la négociation autour des attentes multiples des acteurs concernés.

Ronald HEIFETZ, professeur à l’Ecole d’administration J.F.Kennedy (Université de Harvard), distingue deux types fondamentaux de problèmes rencontrés par les sociétés : les problèmes techniques et les problèmes d’adaptation.

Dans son discours, l’intervenant tire les enseignements de son intervention auprès de la République du Kirghizitan, menée la fin des années 90 pour élaborer un programme de développement. Quelques points clefs à retenir: la nécessité de 1) considérer les pays non pas comme des marchés émergents mais comme des sociétés émergentes; 2) faire naitre la subsidiarité avant de définir le projet; 3) appréhender le développement comme un problème complexe d’adaptation et non pas comme un problème technique.

Dans cet article, l’auteur présente les trois étapes principales de l’évolution de la gestion de la qualité dans les entreprises depuis la seconde guerre mondiale. Il insiste sur les nouvelles approches et notions pour développer la qualité dans les entreprises aujourd’hui et voit une grande relation entre ce défi pour le milieu humain qu’est l’entreprise et les enjeux auxquels un territoire est confronté.

Dans son discours, l’auteur rappelle la dimension agricole et rurale de la région Ile-de-France, tant sur le plan géographique qu’économique. Dès lors pour le président de la région Ile-de-France, l’enjeu est d’accompagner l’agriculture et l’espace rural pour conduire l’innovation nécessaire face aux défis de compétitivité, pour créer de nouvelles valeurs ajoutées, pour protéger les espaces naturels mais aussi maintenir des territoires vivants.

Dans cet article, l’auteur détaille une action menée par les élus locaux pour améliorer le développement socio-économique du territoire. La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences s’y inscrit au travers de la recherche d’un développement local. L’expérience du Pays Couserans illustre l’enjeu que représente, à un moment donné et pour un territoire, la gestion des ressources humaines, ici dans le cadre d’une meilleure structuration des acteurs du territoire.

Dans cet interview, l’auteur éclaire sa conception de l’innovation sur le territoire de la coopérative SICASELI, le Ségala-Limargue, et détaille sa façon de la conduire et de l’accompagner, tant sur le plan technique qu’organisationnel.