Dans cet article, l’auteur témoigne de l’expérience et des initiatives de la commune de Larrazet qui entretiennent au quotidien et dans la durée la responsabilité et l’implication des hommes dans la vie et l’identité culturelle de cette commune du Lot et Garonne.

Dans cet éditorial, l’auteur propose de remettre le lien entre les hommes au cœur du projet de société, d’où l’importance de replacer les hommes, citoyens, élus ou chefs d’entreprise, en condition d’exercer leurs responsabilités vis-à-vis de la communauté…

Dans cet éditorial, l’auteur expose les fondements qui le conduisent à proposer de faire de l’association Sol et Civilisation un espace d’interrogation, de réflexion et de débat sur les équilibres d’une société française en crise. En crise au sein du monde rural. En crise au sein du monde urbain. En crise dans la rupture du dialogue et de la connaissance entre les milieux urbains et ruraux…

Dans ce discours de clôture du Dimanche des Terres de France, l’auteur expose les fondements de la vision qu’il souhaite porter à travers la promotion du développement des territoires ruraux, en particulier en créant par la suite l’association Sol et Civilisation.

Dans cet article, l’auteur développe les concepts de cartes mentales et d’organisation apprenante, déduits de l’observation des conditions du changement dans les grandes organisations, et propose d’imaginer un scénario où cette approche de dénominateur maximum commun permettrait non pas de planifier une nouvelle agriculture, mais de dessiner une multitude de petits chemins de changement.

Dans cet article, l’auteur rappelle les liens historiques entre certification forestière et gestion durable des forêts, détaille l’émergence de cette notion en France et en Europe et son appropriation par les forestiers privés et acteurs de la filière bois à travers le système PEFC, qui se distingue de l’approche PFC.

Dans son éditorial, l’auteur s’inquiète de la montée des crises du vivant qui annoncent un défi majeur pour nos sociétés : élaborer des stratégies communes pour prendre charge la qualité du vivant par et avec l’ensemble des acteurs concernés, agriculteurs bien sûr, mais aussi acteurs de filière, consommateurs etc.

Dans cet éditorial, l’auteur rappelle son souhait de voir les acteurs ruraux pleinement acteurs du développement rural et des complémentarités entre villes et campagnes. Une vision peu compatible avec l’approche urbaine de l’aménagement du territoire, qui guide l’évolution des politiques publiques.

Dans cet article, l’auteur s’inscrit en faux vis-à-vis de la vision courante des agricultures des PECO, souvent perçues comme un avantage comparatif pour l’intégration de ces pays dans l’Union Européenne. En s’appuyant sur l’analyse de la compétitivité agricole, de la productivité, de la structuration des exploitations et en décryptant le retour à la terre comme un refuge anti-chômage, l’auteur propose de considérer le développement économique et agricole de ces pays non seulement comme un projet de développement rural classique mais comme une politique d’organisation et d’aménagement du territoire au sens large, c’est-à-dire des campagnes et des villes et des liens qu’elles peuvent entretenir.

Dans cet article, l’auteur soutient que la grande subsidiarité peut être un espace où s’exerce la subsidiarité. Il développe cette analyse en présentant le groupement des Mousquetaires : sa structuration, sa philosophie et ses modalités de fonctionnement, en tant que tissu de petites entreprises mais aussi en tant qu’ensemble d’individus qui s’engagent à prendre une partie de l’entreprise commune, chacun à leur niveau. Dans un second temps, l’auteur illustre l’action spécifique conduite en milieu rural, à travers des exemples concrets.